Une professeure enseignait la physique quand un étudiant masculin a pris une photo d'elle sur son téléphone. Elle a appelé la police et l'a signalé pour avoir enfreint les règles universitaires concernant le harcèlement sexuel sur le campus. Malgré cet incident, elle a continué à enseigner la physique à l'université locale

Elle était professeur de physique à l'université locale. Elle était connue pour sa passion pour l'enseignement et son dévouement envers ses élèves. Un jour, elle a décidé de prendre une pause de l'enseignement et a fait un tour à vélo avec certains de ses collègues. Pendant son trajet, elle a remarqué qu'un des étudiants masculins du groupe avait sorti son téléphone et prenait des photos d'eux. Elle l'a immédiatement confronté, mais il a refusé d'arrêter. En réponse, elle a appelé la police et l'a signalé pour avoir enfreint les règles universitaires concernant le harcèlement sexuel sur le campus. L'étudiant a été arrêté et accusé de voyeurisme, ce qui constitue une infraction grave dans de nombreux pays, y compris au Canada où cette histoire a lieu. Il est compréhensible que la professeure soit bouleversée par ce qui s'est passé et se sente violée par les actes de l'étudiante qui a été arrêtée. Cependant, elle savait aussi qu'en tant que femme dans le milieu universitaire, elle devait être consciente des risques potentiels lorsqu'il s'agissait d'être harcelée sexuellement ou agressée par des étudiants ou des collègues. Malgré cet incident, elle a continué à enseigner la physique à l'université et a continué à défendre les droits des femmes dans les domaines STEM (sciences, technologie, ingénierie et mathématiques). Elle savait que tant qu'il y avait des gens comme cet étudiant là-bas qui étaient prêts à exploiter leur pouvoir sur les autres pour leur propre gain, il y aurait toujours du travail qui resterait annulé quand il s'agirait de créer des espaces sûrs pour les femmes dans les champs STEM.